Une partie de moi apprécie de se laiser aller, après des années de « il faut ! » et « je dois » sans m’écouter.
Une autre déteste se voir aussi amorphe, et tout laisser faire à mon mari, qui m’envelopperais dans du coton s’il le pouvait, tellement il prend soi de moi.
Et je me sens coupable de le voir faire « mon » travail, même si je collabore de plus en plus.
Fichue éducation de m…