Comprendre pourquoi nous mangeons, et surtout, comment arrêter de manger ses émotions est primordial.
Vous allez trouver ici des moyens de reconnaître, et mettre à distance ces compulsions qui nous font manger une tablette de chocolat (ou un saucisson) sans pouvoir s’arrêter.
La manière dont nous nous alimentons est intimement liée à nos émotions.
Hormis la faim, nous mangeons en réponse à des émotions, souvent négatives, car la nourriture est intiment liée au réconfort, à la consolation, au plaisir.
Socialement, tout d’abord, car qui n’a pas reçu un gâteau ou une friandise lorqu’il avait mal, ou un gros chagrin ?
Physiologiquement, également, car manger quelque chose d’agréable, qui nous fait plaisir, génère la production de dopamine, l’hormone du plaisir. Et active le système de récompense/renforcement de notre cerveau : nous aurons ensuite encore plus envie de manger cet aliment qui nous donne du plaisir… sans pouvoir nous arrêter.
Heureusement, il existe des moyens de “casser” ce système infernal (pour nos bourrelets), et destructeur pour notre estime de nous.
Reconnaitre ses émotions
Vous êtes là, attirée insidieusement, mais impérativement, par la tablette de chocolat planquée dans l’armoire, le pâté qui sommeille gentiment à côté des cornichons, ou un verre de soda qui vous fait de l’œil.
Je ne vais pas vous demander d’y renoncer, mais de faire une pause.
Que ressentez-vous là, maintenant ?
Fermez les yeux un instant, et essayez de plonger en vous-même. Essayez ensuite de vous “brancher” sur les émotions que vous ressentez (et qui vous poussent à manger cet aliment qui, vous le savez, va vous réconforter).
Comment qualifier ce que vous ressentez :
- colère,
- tristesse,
- peur,
- dégoût,
- surprise,
ou un mélange d’émotions, les plus courantes étant :
- honte (peur, colère, tristesse),
- culpabilité,
- jalousie,
- déception (surprise + tristesse),
- hostilité (colère + dégoût),
A vous, maintenant, de faire le point sur ce que vous ressentez quand cette envie de fringale vous submerge !
© Equilibrance coaching : décembre 2019