Là, aujourd’hui, je suis encore en surcharge nerveuse (le choc de l’annonce ?) : il faut me parler lentement, me laisser le temps d’enregistrer et de comprendre les informations… Dur à vivre quand on a toujours vécu avec un hamster dans la tête !
Depuis hier, j’ai la désagréable impression d’être continuellement shootée, de marcher au ralenti, d’avoir du brouillard ou du coton dans la tête qui m’empêche de réfléchir.