Mon collègue gestionnaire, qui a récupéré la majorité de mon travail (alors qu’il est lui-même débordé) m’a gentiment dit de ne pas m’en occuper, que ce n’était plus mon problème, et que je devais me concentrer sur moi, et ma santé.
Malgré tout, je souffre pour lui, et pour mon autre collègue elle aussi débordée.