Ceci dit, il est vraiment dommage que l’oncologue ne m’ait pas informée de cette légère complication (30 % des femmes opérées en souffrirait) sans réelle gravité, mais génératrice de beaucoup de peur.
Je comprends qu’il ne veuille faire peur aux autres malades (et surtout aux hypocondriaques), mais avoir une petite explication du type : « Si votre sein gonfle, ne vous inquiétez pas, cela peut arriver… » aurait été TRES appréciable !