L’EFT et le Prince Harry

L‘EFT et le prince Harry : l’EFT (technique de libération des émotions) deviendrait-elle enfin une technique dont on parle ?

Il y a peu de temps, le Prince Harry a annoncé qu’il utilisait l’EFT, ainsi que d’autres techniques énergétiques connues grâce à  sa femme, Meghan Markle,  l’EFT commence à parler parler de lui auprès du grand public ! 

Le prince Harry se confie

J’ai été touchée par le témoignage du prince Harry, qui coupe définitivement avec le fameux « Never complain, never explain » (ne jamais se plaindre ni se justifier) de la famille royale anglaise.

Cet homme que nous avons vu grandir, ce petit garçon auquel nous nous sommes associés lorsqu’il enterrait sa mère a décidé de réagir, de choisir sa vie, loin des normes qui lui avaient été imposées, et auxquelles il ne souscrivait pas.

Il devient maintenant un fervent supporter de  l’épigénétique, et des nouvelles techniques qui lui permettront de se libérer du cycle des souffrances intergénérationnelles, pour lui-même et sa famille.

 

Rappelons que l’épigénétique est la nouvelle science témoignant de l’impact de nos pensées sur notre santé physique et mentale.

Souffrances princières

Dans le podcast de Dax Shepard, « Armchair expert« , le prince Harry s’est confié sur sa jeunesse, et notamment sur son mal-être au sein de sa famille.

Il explique d’ailleurs dans le oprahdaily, le blog d’Oprah Winfrey, pourquoi il ne désirait pas élever ses enfants de la même manière dont lui-même l’avait été. 

 

Il compare notamment sa vie d’héritier royal à un mélange entre la vie dans un zoo et le Truman show.

Morceaux choisis

« C’est le job, n’est-ce pas ? Souriez et faites-le. »

« J’étais au début de la vingtaine et je e disais que je ne voulais pas de ce job… ». 

« Regarde ce que cela a fait à ma mère. Comment pourrai-je jamais m’installer, avoir une femme et une famille alors que je sais que cela va se reproduire ? »

 

Bien loin de la vie idéale de prince que l’on pourrait imaginer…

Il le raconte d’ailleurs dans la bande annonce de la série documentaire qu’il produit avec Oprah Winfrey, en parlant de sa santé mentale et de tous les problèmes qu’il a rencontrés dans sa jeunesse, puis son adolescence (ici l’article original de Cnews)

Le prince Harry a découvert l'EFT grace à Meghan Markle

Dans Oprahdaily, Harry se confie sur ses problèmes, et raconte notamment que sa femme « pouvait dire que je souffrais et que certaines des choses qui étaient hors de mon contrôle me mettaient vraiment en colère ».

Le magazine ELLE relaie cette information, en précisant que Meghan Markle, la femme du Prince Harry, a découvert l’EFT  en Californie, grâce au film Heal – les clés de  la guérison, tiré du livre éponyme  qui parle du pouvoir de notre pensée pour réparer les blessures du passé.

La princesse Meghan Markle utilise cette technique, ainsi que le reïki sur elle-même, ainsi que sa famille « afin de les aider à se sentit plus équilibrés et détendus ».

Dans un post du Daily mail, la princesse

« Meghan dit qu’elle et Harry viennent d’une longue lignée de douleur et de souffrance, [avec] des générations de bagages génétiques, et qu’il leur appartient maintenant de briser le cycle une fois pour toutes».

Dans un autre article du magazine Parents, elle parle de sa découverte de ces méthodes grâce à sa mère.

Un combat princier

En effet, le prince Harry a décidé de produire avec la célèbre animatrice américaine une série « The Me you can’t see » (le Moi que tu ne peux voir), qui présente des interviews de célébrités pour alerter sur les problèmes de santé mentale.

Le prince Harry déclare notamment : « Prendre la décision de recevoir de l’aide n’est pas un signe de faiblesse.  Dans le monde d’aujourd’hui, plus que jamais, c’est un signe de force ».

AU-delà de son témoignage personnel, touchant de la part d’un homme ayant vécu toute sa vie sous le regard des tabloïds, c’est surtout le signe d’un grand changement dans les mentalités, de la volonté d’aller mieux et surtout, de prendre sa santé émotionnelle et mentale en main.

 

Du désir de devenir responsable, de s’ouvrir à des techniques qui ont fait leurs preuves de manière concrète, même si elles ne sont pas encore acceptées de manière « officielle » (bien que souvent utilisées de manière officieuse) par le corps médical.

 

Et je trouve d’autant plus courageux que ce jeune père de famille fasse passer ses convictions, ses valeurs, et le futur de sa famille et ses enfants avant l’éducation qui lui avait été donnée (imposée, devrais-je dire).

 

Il rompt définitivement avec une certaine image de l’éducation, rigide et sans âme, basée sur le « devoir », au détriment de « l’humain ».

 

Combien sommes-nous dans le même cas, qui n’osons nous débarrasser du joug des « il faut », « tu dois », « c’est comme ça », et autres « conscience professionnelle », « sens des responsabilités ou du devoir ».

 

Prenons conscience de ce poids qui nous entrave, qui nous empêche d’avancer vers nos rêves et nos espoirs.

 

Et utilisons cet outil merveilleux qu’est l’EFT !

Facile à apprendre et à utiliser en toute autonomie, et surtout gratuit !

Je suis curieuse de savoir ce qu’a éveillé en vous la lecture de cet article,  et je serais heureuse si vous pouviez mettre un commentaire sur votre ressenti.

4 réflexions sur “L’EFT et le Prince Harry”

  1. Bjr, cela m à conforté dans l idée, qu il est impossible de séparer le corps et l esprit, de se faire aider dans les moments de doutes de peine ou de désarroi, Reiki, EFT, pensées positives, méditations, sont de bons outils et l EFT, c est tellement facile et agréable, merci pour cet article

    1. Françoise BOUTET

      Bonjour Tocco, merci pour votre retour : en effet nous habitons dans une maison qui est notre corps, mais notre présence lui donne vie, chaleur et confort. Pour moi également, corps et esprit sont indissociables, ce que beaucoup d’entre nous ont oublié. Il est temps de reconquérir notre unité en prenant soin des 2 ensembles et non séparément. Il existe tellement de belles techniques pour y parvenir ! J’en pratique plusieurs (même si ma préférée est l’EFT), et toutes se ramènent en fin de compte à la même chose : se reconnecter à l’énergie, celle qui nous entoure autant que la nôtre, et laisser tout cela circuler en nous.

  2. Camille Legros

    Bonjour,

    Merci pour cet article.

    Bien que je ne viens pas d’une famille princière (et ce n’est pas une honte pour moi de venir d’une famille princière), je me retrouvé un peu dans ces mots.

    A bientôt 34 ans, « confinée » chez mes ex-parents retraités contrôlants, étouffants.
    Je suis encore sous le « joug » des “il faut”, “tu dois”, “c’est comme ça”, et autres “conscience professionnelle”, “sens des responsabilités ou du devoir”. (mes ex-parents faisaient souvent à ma place de peur que je fasse une bêtise, erreur); ce qui m’envoya le message « on le fait à ta place puisque tu es incapable » (sauf qu’ils ne me laissaient jamais faire par moi-même). Résultats ils disent vouloir mon autonomie ne cessent de la freiner et me reproche de pas être autonomes (et qu’ils n’ont rien à se reproché qu’ils ont « tout fait » pour que j’ai confiance en moi sauf que c’est râté. Comment avoir confiance en soi quand nos propres parents ont toujours décidé pour nous (même jusqu’à l’âge adulte), ayant décidé de nos études?

    J’ai aussi une part de responsabilité puisque je n’ai pas su/pu dire non (je n’ai pas été « programmée » à dire Non). Pourtant je sais que je « dois » dire NON. Sauf que je n’arrive pas à le sortir de vive voix.

    Je suis consciente aussi qu’il m’est nécessaire de quitter le domicile familial sans l’approbation de mes parents.
    Ils disent vouloir mon autonomie mais ne cessent de la freiner (et comme ils sont retraités et souvent à la maison et sont à l’affût de mes tentatives d’autonomie).

    Camille

    1. Françoise BOUTET

      Bonjour Camille, votre article me touche car il résonne profondément en moi, car j’ai eu le même genre d’éducation que vous. Seulement, je crois que je suis née avec le NON inscrit dans mes gênes (et j’ai, ou plutôt avais, beaucoup de mal à leur dire OUI). J’étais en révolte permanente et ne savais pas comment en sortir : l’opposé de votre réaction viscérale. Heureusement, j’ai fait beaucoup de chemin (et de travail sur moi 😉 ) pour en arriver où je suis actuellement. Je ne saurais que vou s dire : écoutez-vous, vos valeurs profondes, et agissez par rapport à elle au lieu de réagir au monde extérieur (ici, vos parents). j’ai mis près de 60 ans pour comprendre cela, et vous souhaite un bon voyage sur cette route.

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